jeudi 27 février 2014

Stéphane Inkel, Le paradoxe de l'écrivain. Entretien avec Hervé Bouchard, Taillon, La Peuplade, 2008, 121 p.

p. 84: Il ne s'agit pas de figurer quelque chose, d'être le signe de quelque chose, pas du tout. Il s'agit tout simplement de prendre possession de cette parole-là, de s'y soumettre entièrement et puis de la donner à entendre.

*performativité de l'écriture

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