lundi 3 février 2014

Stéphane Inkel, Le paradoxe de l'écrivain. Entretien avec Hervé Bouchard, Taillon, La Peuplade, 2008, 121 p.

p. 18 (Inkel): [S]'il faut tenter de nommer ce glissement qui affecte l'identité, s'il y a quelque chose qui disparaît du roman à partir de la décennie de 1980, c'est d'abord et avant tout le politique en tant que politique. Le politique comme question, sociale ou nationale, voire le politique en tant qu'interrogation soutenue du sujet dans son rapport à l'histoire et à tout ce qui le constitue.

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